Nous n’avons pas fini de voir, au niveau mondial, les « effets » et l’impact de l’épidémie de Covid-19 sur notre société, notre économie, notre manière de travailler, nos comportements, l’éducation de nos enfants, etc. D’ores et déjà, on note, par exemple, une baisse de la pollution qui pourrait sauver plus de vies que le virus n’en menace et la mise en ligne de nombreux contenus culturels.
Sur les médias sociaux, beaucoup d’échanges et de contenus sur l’épidémie. Moi-même, depuis quelques jours, j’ai fait évoluer ma ligne éditoriale sur Twitter. Je n’ai plus trop envie de parler de médias sociaux, en tous cas moins.
Même chose sur mes profils Instagram et Facebook. Je préfère relayer des conseils, des infos utiles, des tweets plein d’humour qui redonnent le moral (même quelques minutes), des anecdotes, des illustrations inspirantes et reboostantes…
D’autres partagent des recettes de cuisine, des selfies encore plus fun, des astuces pour télétravailler… Le retour d’une certaine cohésion que nous avions perdue ?
L’article paru sur The Atlantic, « You Have a Moral Responsibility to Post Your Boring Life on Instagram« , fait référence à cette évolution.